31, Déc 2019
La Députée Danielle HERIN, en visite à la Maison de la famille du Carcassonnais

La Députée Danielle HERIN, en visite à la Maison de la famille du Carcassonnais

Le 23 décembre dernier, Madame Danielle HERIN est venue découvrir les installations et actions de la Maison de la famille du Carcassonnais.

C’est à l’invitation du GDAAF que Madame HERIN a pu s’entretenir avec les représentants de l’association coordonnatrice des actions « parentalité » de la Maison de la famille. Rencontre à laquelle la gouvernance de l’UDAF était également conviée.

Ainsi les différentes actions portées en complémentarité ou en partenariat par les deux associations ont pu être évoquées.

Madame la Députée s’est félicitée de l’existence de ce lieu qui doit devenir, au plan local, la plaque tournante des actions à destination des parents et plus généralement à l’ensemble des familles.

31, Déc 2019
Accueil des victimes de violence familiales et conjugales à Limoux

L’UDAF de l’Aude, partenaire de la salle des familles de la Gendarmerie de Limoux – un dispositif mise en œuvre pour mieux accueillir les victimes de violence familiales et conjugales

Ce dispositif est un local spécialement aménagé et équipé de façon adaptée pour mettre les enfants et personnes auditionnés en confiance par des militaires spécialement formés.

A Limoux, le projet a été adapté au contexte local : depuis le début de l’année, 92 victimes de violences intrafamiliales ont été recensées au sein de la compagnie, dont 73 femmes (53 au sein du couple) qui représentent près de 80 % du public accueilli ; par ailleurs 72 mineurs victimes de violences (dont sexuelles et intrafamiliales) ont été recensés. Il a donc été décidé de modifier le bureau utilisé par l’intervenante sociale Police/Gendarmerie qui tient une permanence hebdomadaire dans les locaux de la brigade de recherches, afin de répondre à un double besoin : faciliter la libération de la parole des victimes de violences intrafamiliales, essentiellement des femmes, ainsi que l’audition des mineurs victimes de violences. Elle a été dénommée « salle des familles ».

L’Union Départementale des Associations Familiales (UDAF) a accepté de prendre en charge l’achat des matériels : caméra vidéo, meubles et sofa, considérant que cette action entrait pleinement dans son objet associatif de soutien des familles et de la fonction parentale. Considérant que cette opération émanait du C.L.S.P.D. et répondait à des enjeux de lutte contre la délinquance, Madame la Sous-Préfète a accepté de mobiliser un financement spécifique de l’Etat, au titre du Contrat de ville et de son pilier « Cohésion sociale » dans la programmation d’actions de 2019. L’aménagement de la salle et les décorations ont été prises en compte par la Gendarmerie.

Pour illustrer la présentation, voici le témoignage de Mme Annie Gourgue, présidente-fondatrice de l’association « La Mouette » à l’origine de la première salle « Mélanie » à Agen :

« Il y a quelques années, j’ai accompagné un enfant de 7 ans qui avait subi des violences sexuelles à la Gendarmerie. Les conditions étaient très mauvaises. Il s’est retrouvé sur un fauteuil, dans le bureau de l’assistante sociale. Il n’a pas dit un mot. C’est à ce moment que j’ai réalisé que l’on ne peut pas laisser les choses telles quelles. L’idée de la salle Mélanie était née. Mélanie est le prénom de la première petite fille qui m’a donné l’idée qu’il fallait recevoir les enfants autrement. C’est en fait une salle d’accueil avec des meubles adaptés. La plupart du temps, l’enfant va être entendu près d’une heure, il peut alors se lever et «se balader ». Sur le haut d’une étagère, on distingue une petite caméra qu’il va vite oublier. C’est elle qui filme l’audition. Dans la salle d’à côté, les gendarmes peuvent écouter et regarder la discussion sans avoir à intervenir, sans la perturber. Dans ces salles, chaque détail a son importance. Il y a un canapé où l’enfant peut aller s’asseoir ou s’allonger pour changer de position, une table transparente (pour pouvoir observer les gestes que l’enfant fait avec ses mains, et qui donnent de précieuses indications) et même des jouets. Au fond de la salle, il y a une maison de poupée. Elle peut aider les enfants à montrer des pièces, expliquer des situations qui se sont passées dans une maison. Un puzzle est également à leur disposition. Il représente un petit garçon ou une petite fille, où il peut retirer les vêtements et montrer des parties du corps. En cas de victime d’agression sexuelle, il peut préférer montrer plutôt que de raconter ce qu’il a vécu. « Redire, c’est revivre ». Il faut donc tout mettre en œuvre pour que ce soit le moins difficile possible. »

 

31, Déc 2019
Restitution de l’enquête de satisfaction des services de l’Udaf de l’Aude le 18 décembre 2019

Comme chaque année, les élèves du BTS SP3S du lycée Jules FIL de Carcassonne, ont restitué l’enquête de satisfaction des services de l’Udaf de l’Aude qui était cette année doublée de la restitution de l’enquête de satisfaction des partenaires de l’unité accompagnement social et budgétaire.

Etaient présents lors de cette restitution : des membres du Conseil des Usagers, des membres du Conseil d’Administration, les salariés, les représentants de la DDCSPP, de la MDPH, et les directions des associations et services partenaires ( APAM/ATDI/HABITAT AUDOIS…).

Des résultats positifs et qui confirment les objectifs d’amélioration identifiés dans les évaluations externe et interne de l’Udaf  de l’Aude et les actions du CPOM 2019 – 2021.

L’après-midi, le traditionnel Noël des enfants du personnel donnait lieu à une représentation poétique : « Le manteau rouge », suivi d’un goûter confectionné avec l’aide des enfants du personnel dans la cuisine pédagogique de la Maison de la famille.

En marge de ces festivités, l’élection du concours du bureau de Noël et le 1er concours du pull noël le plus « moche », qui voyait le Directeur l’emporter d’une courte maille….